C’est l’avis de François Léger, journaliste et essayiste, au sujet de ma modeste nouvelle « La demeure du silence » publiée dans l’anthologie « Ces messagers venus d’ailleurs » aux Éditions Popfiction en mai 2010 (disponible sur leur site au prix de 12,90 €) :« En revanche, parmi celles qui ont retenu toute mon attention, il en est quatre dont "La demeure du silence" de Hans Delrue, un auteur bruxellois de nouvelles fantastiques et science-fiction... Ici, des révélations religieuses et des constructions extra-terrestres mènent un brave prêtre, le père Léonard, à ne plus savoir non seulement ce qu'il doit croire, ce qu'il doit dire mais tout simplement ce qu'il croit ! Certes, ce brave homme de prêtre nous semble bon et prêt à tout pour aider son prochain mais il est des choses qu'un théologien ne peut pas accepter... Est-ce ce refus qui provoque une mort foudroyante devant ses yeux ?
Bien évidemment, je ne vais pas vous livrer la trame de cette nouvelle. Toutefois, je vous ai donné cette précision parce qu'elle est suivie de cette phrase qui peut passer inaperçue : "Une petite lueur parut s'échapper de son corps avant de traverser la salle". Or, je pense que le lecteur doit s'arrêter une minute sur cette toute petite phrase parce qu'elle est porteuse de toute une croyance... Mais oui, vous retrouverez cette petite lueur dans nombre d'ouvrages ésotériques et, sans aller plus loin, rappelons-nous que certains médecins ont "pesé" l'âme qui quitte notre corps au moment de la mort : "12 grammes" ont dit certains... "Ridicule" ont affirmé d'autres hommes en blanc... Toujours est-il que cette petite phrase est porteuse d'un intéressant débat.
Je ne vous en dirai pas plus si ce n'est que cette nouvelle est intéressante et bien menée, prenante, en nous réservant une chute particulièrement inattendue, talent du nouvelliste. »
Pour lire la critique complète du recueil « Ces messagers venus d’ailleurs », rendez-vous sur le blog de François Léger.
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