Voilà qu’arrive le numéro 5 de Piments & Muscade, « À la lettre », consacré aux charmes épistolaires et auquel j’ai participé. En voici un rapide compte-rendu :
Course poursuite de Laëtitia Genetay
Un homme timide laisse une lettre d’adieu à la femme qu’il aime. Celle-ci part à sa recherche, bien décidée à le ramener chez elle.
Fantasmes artificiels de Pénélope Chester
Un homme dans un lit d’hôpital adresse des lettres virtuelles aux infirmières qui passent près de lui. C’est le seul plaisir qui semble lui rester…
L’amour qui ne dit pas son nom de Hans Delrue
Une femme reçoit une lettre d’amour anonyme. L’auteur se plaît à jouer au chat et à la souris avec l’objet de son désir. Je vous renvoie à la présentation plus complète de ma nouvelle sur ce blog.
Tout cela reste entre nous de Jennifer Flajolet-Toubas
Une femme observe minutieusement sa voisine pour l’imiter à la perfection : mêmes horaires, même nourriture, mêmes habitudes de vie. Pourquoi cherche-t-elle à devenir à ce point son double ?
Rêveries épistolaires de Vanessa Terral
Une femme couche sur le papier ses fantasmes les plus torrides, jusqu’à ce qu’ils deviennent réalité.
Nuit de solstice de Laëtitia Genetay
Fanny est une fée. Du moins théoriquement, car du peuple des fées, elle a la malchance d’être née sans pouvoir. Elle s’est réfugiée loin, dans le mondes des humains, mais la Matriarche la force à assister au Bal du Solstice où un cavalier l’attend.
Parlez-moi d’amour de Frédéric Nérinckx
L’action se passe dans un café aux murs tapissés de lettres d’amour : le propriétaire invite ses clients à rédiger poèmes ou mots d’amour sur les parois de son établissement. Quel secret cache cette étrange lubie ? Un beau texte, ma nouvelle préférée de ce recueil.
La revue Piments & Muscade est éditée par l’association L'Armoire aux Épices. Un exemplaire peut être commandé sur le site au prix de 3€ + frais de port (vous pouvez également vous abonner).
Je préfère l'Histoire terminée
Il y a 2 semaines
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