Jun est un adolescent laissé à lui-même, orphelin de père et délaissé par sa mère. Il survit en vendant des menus objets à la sauvette, lorsqu’un vieil homme l’aborde, affirmant voir le « gros » en lui. Ce dernier, maître d’une école de sumo, parvient à convaincre le jeune homme d’apprendre cet art martial. Peu à peu, Jun s’initie également au zen et finit par se réconcilier avec les autres ainsi qu’avec lui-même.
Un conte mignon, fondé sur quelques concepts vaguement bouddhistes, à l’intérêt limité. Certes bien écrit, le récit s’avère sans surprise (il devient sumo, il tombe amoureux de la fille et ils se marient et auront plein d’enfants). J’ai une préférence pour des romans plus « durs » de cet auteur, et qui invitent à plus de réflexion, comme « La part de l’autre » par exemple. Bref, un livre « spiritualité-minute » pour les lecteurs recherchant une histoire optimiste, mais qui reste trop à la surface des choses pour moi.
Je préfère l'Histoire terminée
Il y a 2 semaines
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